Paradoxes

Je suis un passager de l’Amour du délire

Du destin de la vie qui va vient s’enfuit

Au plein cœur de l’alcool

Au milieu des étreintes et brisées

Et fatales qui me gagnent m’envahissent

Dans vos seins qui me rêvent

Votre corps qui se donne

Nouveau sang nouvelle offrande

Divinement vénéneuse elle tournoie

Elle m’enivre nouveau ciel horizon

Nouveau feu illusion peu m’importe

Je revis et je jouis sur vos seins

Dans votre bouche Seigneur Fou c’est l’extase

Loin des mots loin du monde

Des pisses-froids pudibonds

Responsables et aimables

Des yogis sans emphase

Sans outrance triste sires

Désaxé dépravé je ne réclame je n’implore

Que l’outrance l’ouragan

De votre corps capiteux

Et la clef de votre peau lumineuse

Désirante désireuse de l’épée de mon sexe

Et de mes mots secrets délirants Idolâtres démiurgiques

Et du rien et du toutJe vous aime

Telle la nuit qui épouse la Lune

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